La Fin des étiages, de Gauthier Guillemin

Salutations, lecteur. Il y a quelques temps, je te parlais de Rivages, un premier roman de Fantasy traitant de la nature de manière contemplative. Aujourd’hui, je vais te présenter sa suite,

 

La Fin des étiages, de Gauthier Guillemin

albin45006-2020

Introduction

 

Avant de commencer, j’aimerais préciser que cette chronique émane d’un service de presse des éditions Albin Michel Imaginaire, que je remercie chaleureusement pour cet envoi ! Ensuite, comme il s’agit d’un deuxième volume de diptyque, je pense qu’il vous sera nécessaire de lire Rivages (ou une chronique à son sujet) si vous ne voulez pas être perdus à la lecture de cette chronique.

Gauthier Guillemin est un auteur français. Parallèlement à l’écriture, il travaille dans l’éducation nationale en tant que principal adjoint de collège. Il a également enseigné au Nigéria, et voyage beaucoup.

La Fin des étiages est son deuxième roman et fait suite à Rivages, avec lequel il forme un diptyque. En voici la quatrième de couverture :

« On l’appelle le Voyageur. Il a quitté le village de son épouse, Sylve, pour honorer une dette ancienne, pour retrouver les mers et les océans depuis trop longtemps perdus. Et il a disparu. A-t-il été capturé ou tué par les Fomoires, s’est-il égaré, continue-t-il son voyage vers les rivages ? Au village, nul ne le sait. Neuf mois après le départ de l’homme qu’elle aime, trop inquiète pour rester sans rien faire, Sylve décide de partir à sa recherche, d’affronter une forêt où les merveilles se disputent aux dangers.
La Fin des étiages est la suite de Rivages. Le récit nous emmène encore plus profondément dans le Dômaine et nous fait découvrir la capitale des Nardenyllais. Là, commence à réapparaître une technologie qu’il aurait sans doute mieux valu laisser dans l’oubli. »

Dans mon analyse du roman, je traiterai de la manière dont l’auteur approfondit son univers et prend d’une certaine manière le contrepied de Rivages, puis je m’intéresserai à la façon dont La Fin des étiages dépeint une technomagie et un conflit Homme-Nature.

 

L’Analyse

 

Approfondissement de l’univers de Rivages

 

Dans La Fin des étiages, Gauthier Guillemin approfondit et développe des points de l’univers qu’il mettait en scène dans Rivages, en nous présentant de nouveaux peuples et lieux, mais aussi une sorte d’Histoire mythique de son monde. Il approfondit également sa description des peuples déjà présents dans le volume précédent, à savoir les Ondins, les Nains et les Fomoires.

Ainsi, on dispose par exemple le point de vue des Fomoires, à travers le point de vue de Lakmir’Tell, présenté dans l’incipit. Cela permet à l’auteur de développer les coutumes de ce peuple, qui s’avèrent liées aux compétences martiales et basées sur l’expérience. Le peuple des Fomoires apparaît alors comme un peuple de guerriers, qui cherchent à aller de l’avant pour trouver les rivages dont ils sont originaires. L’auteur décrit également le peuple des Sais, qui résistent à la chaleur. Mais La Fin des étiages fait la part belle (ou pas) aux Fir-Bolgs, un peuple qui manipule la foudre et les esprits naturels, qui se sont alliés aux Nardenyllais dans leurs projets d’expansion, de conquête, et de progrès technologiques (dont je vous parlerai dans la deuxième partie de la chronique).

Là où le roman précédent s’appuyait sur la découverte du village des Ondins par le Voyageur, et traitait donc de la sédentarisation, La Fin des étiages traite de l’exploration, à travers les multiples points de vue de personnages qui se déplacent au cours de l’intrigue. Par exemple, Gauthier Guillemin prend le point de vue de Sylve, partie sur les traces de son mari, à savoir le Voyageur, parti explorer le monde grâce à son pouvoir de déplacement instantané. Au-delà de sa quête du Voyageur, Sylve cherche à explorer le Dômaine et ses environs, à la recherche des rivages d’où viennent les ancêtres de son peuple, les Tuatha Dé Dana. L’auteur nous donne également le point de vue de Vaata, la grand-mère de Sylve, qui épaule sa petite-fille dans son projet de voyage.

La quête de Sylve et de Vaata va bouleverser le village des Ondins, parce qu’elles vont amener de l’action dans un environnement resté trop longtemps immobile. Les deux personnages se confrontent alors aux incarnations de l’immobilisme du village et de son manque de progression, le conseil, qui refuse de prendre des décisions quant aux menaces qui pèsent sur leur village, comme les Fomoires ou les Nardenyllais. On observe alors que la politique du conseil du village n’est pas perçue de manière uniforme et est propice à déclencher ou envenimer des conflits. Sylve incarne alors une force de changement, qu’il soit social ou géographique, puisqu’elle cherche à retrouver les rivages de ses ancêtres pour que les Ondins s’y installent, pour fonder une communauté plus libre que le village qui se trouve sous la coupe de Zeneth. Elle s’oppose alors à la fois à l’immobilisme du village, social et géographique, ainsi qu’aux velléités conquérantes des Nardenyllais. Sa romance avec le Voyageur se trouve également développée, notamment dans la manière dont les deux amants se retrouvent.

L’auteur décrit également la ville de Nar-î-Nadin, qui apparaît avancée technologiquement, puisqu’elle dispose de machines à vapeur et d’aéronefs. La manière dont Gauthier Guillemin dépeint Nar-î-Nadin contraste alors avec les descriptions d’environnements naturels toujours aussi fouillées. Les machines de Nar-î-Nadin, basées sur la vapeur, mais aussi sur une certaine magie capable de mobiliser les esprits, rapprochent La Fin des étiages de la Gaslamp Fantasy, genre qui mêle influence et esthétique Steampunk à la Fantasy. C’est ce mélange que semble opérer Gauthier Guillemin, puisqu’il mêle des peuples apparentés à ceux que l’ont peut retrouver en Fantasy, les Ondins et les Nains en tête, à des technologies typées Steampunk. On peut également noter que les Nardenyllais s’éclairent au moyen de « lampes gemmales », c’est-à-dire des lampes qui fonctionnent avec des joyaux. Parmi les romans de Gaslamp Fantasy, on peut citer Le Sang du dragon d’Anthony Ryan, qui traite de la manière dont un système capitaliste transforme les dragons en bétail, Cuits à point d’Elodie Serrano, qui relate une enquête qui fait surgir de la magie dans un monde industriel et L’Alchimie de la pierre d’Ekaterina Sedia, où une automate devient alchimiste pour se libérer de l’emprise toxique de son créateur.

La manière dont l’auteur mêle et confronte magie et technologie peut rappeler le roman La Maison des mages d’Adrien Tomas, puisque les deux romans traitent de puissances humaines hégémoniques cherchent à étendre leur contrôle de la nature et des puissances magiques. Le roman de Gauthier Guillemin se distingue cependant de celui d’Adrien Tomas par le fait que le seigneur de Nar-î-Nadin, Zenneth, ne cherche pas le génocide des puissances auxquelles il s’oppose, alors que c’est l’objectif d’Eldryd, antagoniste de La Maison des mages. Les deux antagonistes diffèrent donc par leurs objectifs, puisqu’Eldryd cherche à s’arroger un monopole du pouvoir magique en éliminant tous ses autres représentants, tandis que Zeneth cherche « simplement » à étendre son territoire et ses connaissances.

La ville de Nar-î-Nadin nous est d’ailleurs décrite de la même manière que le village des Ondins dans Rivages, c’est-à-dire à travers le point de vue d’un personnage de voyageur qui la découvre de manière innocente. Ce personnage de voyageur, c’est Quentil, parti sur les routes après le Voyageur pour découvrir le vaste monde. Il se retrouve donc à Nar-î-Nadin, au sein de laquelle il s’endurcit et se confronte à l’adversité. On observe alors que les voyages de Quentil et son séjour à Nar-î-Nadin transforme le personnage, qui devient un véritable aventurier. Les différentes étapes du voyage de Quentil apparaissent alors comme une formation pour lui. Quentil devient un aventurier, mais il apporte également une touche d’humour, visible dans ses dialogues avec Sente, par exemple.

Cette suite de Rivages permet également à Gauthier Guillemin d’étoffer les descriptions et les cultures des peuples qu’il décrivait dans le premier tome de son diptyque. Ainsi, on apprend que les Ondines, lorsqu’elles sont âgées, doivent répondre à « l’Appel », une sorte de retour à la nature qui leur donne de nouveaux pouvoirs, dont celui de manipuler les végétaux. Le lien des Ondins avec la Nature s’illustre dans ce pouvoir, qui permet par exemple de créer des prothèses végétales (oui oui, je vous en parle plus bas).

Les peuples et lieux décrits par l’auteur lui permettent alors d’approfondir son univers, mais également de traiter du rapport des peuples qu’il décrit à la Nature ou à la technomagie.

 

Conflit Homme-Nature et technomagie

 

L’auteur traite du rapport des peuples à leurs histoires pour les questionner. Il inverse les positions que tiennent les Ondins et les Fomoires, puisque certains Ondins quittent leur village, tandis que les Fomoires se sédentarisent. Les points de vue de Sylve et de Vaata permettent également de montrer que les Ondins cachent des secrets, tant dans leur histoire que dans leur rapport aux autres peuples, puisqu’ils sont accusés d’avoir massacré les Fir-Bolg ou d’avoir caché les documents sur les « seuils », des artefacts mégalithiques qui permettent le déplacement instantané, de la même manière que le Voyageur avec les arbres. On observe alors que les Ondins doivent donc faire face à leur histoire, et tenter de retrouver les rivages de leurs ancêtres, dont ils sont restés séparés à cause de l’immobilisme de leur culture.

Les « seuils », dont les Ondins comme les Fomoires vont se servir, apparaissent comme une forme de technomagie, puisqu’ils constituent un équivalent à la téléportation qu’on peut observer en science-fiction, mais fonctionnent sur un mode magique, en prenant de l’énergie à ses utilisateurs pour les transporter d’un seuil à un autre, ce qui permet aux personnages de se déplacer à l’intérieur et même au-delà du Dômaine. On remarque également que les seuils sont une technomagie rattachée à la nature, puisque ce sont des formations rocheuses et des arbres de la même manière que la technomagie dont se servent les Ondins et les Fomoires, par opposition à la technomagie dont se servent les Nardenyllais, qui s’appuie davantage sur l’industrie que sur la nature. À une technologie avancée de science-fiction qui facilitent les déplacements à l’échelle cosmiques, qu’on dans des œuvres telles que La Fleur de Dieu, ou Le Magicien quantique, Gauthier Guillemin substitue une technomagie construite en lien avec la Nature.

Cette dualité entre deux formes de technomagie s’observe également chez Adrien Tomas, notamment dans ses récits dans l’univers de La Geste du Sixième Royaume¸ plus particulièrement La Maison des Mages qui convoquent un conflit opposant des mages humains, qui mobilisent des « golems » et des Nains qui utilisent des armes à feu et des portes hélicoptères par exemple. Chez Gauthier Guillemin, ce conflit entre deux formes de technomagie s’observe dans un affrontement entre des peuples qui souhaitent défendre la Nature, les Ondins et les Fomoires, et ceux qui souhaitent la conquérir, à savoir les Nardenyllais et les Fir-Bolgs.

Suite à des événements qui surviennent à Nar-î-Nadin et dont je ne peux pas vous dévoiler la nature, les Ondins et les Fomoires finissent par faire alliance pour expérimenter les pouvoirs des seuils et trouver les rivages avant les Nardenyllais et leurs alliés Fir-Bolg. Les deux peuples, pourtant ennemis historiques, doivent alors collaborer pour vaincre des ennemis plus puissants qu’eux, remettant ainsi à plat leur histoire conflictuelle commune, qu’on a pu observer dans Rivages et dépasser la haine mutuelle qu’ils se vouent pour atteindre une paix constructrice. Cela leur permet de mobiliser une technomagie puissante, celle des seuils, pour lutter contre des ennemis qui menacent leur territoire et leur existence.

En effet, leur collaboration apparaît nécessaire pour réactiver les seuils, qui leur permettent de se déplacer instantanément.  L’auteur rationalise d’une certaine façon les pouvoirs du Voyageur, avec les seuils, et la manière dont ils peuvent être cartographiés et compris par leurs utilisateurs. La magie emblématique de leur alliance (et du dyptique) est alors rattachée au voyage, à la capacité de se téléporter grâce à des objets. De la même façon, « l’Avaleur de Mangroves » des Nardenyllais, immense navire technomagique à vapeur permet à Zenneth et à son armée d’avancer plus vite et d’explorer des territoires encore vierges. Le déplacement rapide est alors l’un des points communs entre les deux factions du roman. On remarque cependant que ces deux modes de déplacement diffèrent par leur exécution et leur lien à la Nature. En effet, les Ondins et les Fomoires se servent des seuils, qui permettent le déplacement instantané mais ne pèsent pas sur la Nature, tandis que l’Avaleur de Mangroves la détruit et l’exploite pour progresser, puisque sa vapeur s’appuie sur l’exploitation d’esprits aériens.

À la technomagie des seuils, dont se servent les Ondins et leurs alliés, on observe également que les Ondins disposent d’une sorte de technomagie qui leur est propre, utilisée par les Ondines lorsqu’elles entendent l’Appel. Ainsi, il leur est possible de greffer des prothèses végétales sur des membres amputés, comme on peut l’observer avec Sente lorsqu’elle perd une main lors d’un combat, par exemple. Son membre est remplacé par une main d’un bois bien particulier, « une variété hybride d’orme noir » qui vit en elle et s’intègre à son corps de manière symbiotique (qui a parlé d’Allen Walker ?). On peut donc affirmer que Sente devient une sorte de cyborg vegetal (oui oui). On observe alors que la technomagie s’appuyant sur la Nature peut alors devenir un équivalent à une technologie science-fictive, à savoir les prothèses et implants mécaniques.

Cependant, là où les prothèses cybernétiques qu’on peut voir dans des romans cyberpunk rapprochent les personnages qui les portent d’entités mécaniques, la technomagie de prothèses végétales renforce le lien entre le porteur de l’implant et la Nature. Ainsi, la greffe de Sente pousse à l’intérieur de son corps et se mêle à ses veines, ce qui engendre une symbiose, faisant du personnage un créature trans-surnaturelle. On peut également noter que sa greffe est rendue possible par le lien privilégié de son médecin, l’Ondine Nemecq, avec la Nature. La médecine et la chirurgie de La Fin des étiages se trouvent alors en lien étroit avec les écosystèmes, au point de brouiller la frontière entre l’individu et le végétal. On peut alors établir un parallèle entre la condition de Sente et celle de l’Exécuteur Ixion du Double corps du roi d’Ugo Bellagamba et Thomas Day (que je vous recommande, et pas seulement parce qu’il comporte aussi de la technomagie), parce que le personnage vit en symbiose avec une « liane vive » qui traverse son crâne et ajoute à ses muscles « un réseau de fibres végétales souples et résistantes ». Ixion apparaît alors également comme une sorte de transhumain végétal dans un roman de Fantasy.

On peut noter que la technomagie de Nar-î-Nadin entre d’ailleurs en conflit avec la nature, puisque le Dômaine, la gigantesque forêt qui occupe une grande partie du monde connu, repousse certaines inventions. Ainsi les drées, créatures aériennes cracheuses de glace, cherchent à détruire les astronefs, ou s’écrasent et gèlent la zone de leur impact lorsqu’elles sont abattues en vol par les Nardenyllais. Les Nardenyllais luttent véritablement contre la nature, par des moyens technologiques, parce qu’ils cherchent à la conquérir pour étendre leur territoire, de la même manière que la Cité évoquée dans Rivages. On observe alors que Zeneth, chef des Nardenyllais, cherche à étendre son hégémonie sur le monde, quitte à devoir vaincre la Nature et ses représentants, notamment les « drées », mais aussi les peuples vivant en harmonie avec la Nature, comme les Ondins, les Fomoires ou même les Nains. Zeneth apparaît alors comme un représentant de l’hybris humain, puisque sa volonté expansionniste s’accompagne d’une volonté de tout connaître ou presque, sans se soucier de volontés qui pourraient lui être supérieures, à l’image du Dômaine, contre lequel il entre en conflit. On observe donc que La Fin des étiages met donc à l’œuvre un conflit qui oppose l’Homme à la Nature, puisque les protagonistes et les antagonistes du roman sont distingués par leurs rapports à la Nature, les Ondins vivent en harmonie avec elle, tandis que les Nardenyllais cherchent à la conquérir.

Le récit traite également des esprits élémentaires de la nature en montrant qu’il s’agit de créatures vivantes et pensantes, notamment à travers le rapport de Sylve avec eux, puisqu’elle dialogue avec eux, ce qui montre qu’ils ne sont pas des objets de pouvoirs ou des esclaves des mages. On observe donc deux rapports aux esprits, celui de certains Ondins qui communiquent avec eux, comme Sylve, et celui de Nar-î-Nadin et des Fir-Bolg, qui enferment des esprits dans des machines pour les faire fonctionner, comme on peut le voir avec le monstrueux « Avaleur de Mangroves », qui rappelle les machines des manciens de La Maison des mages. Les esprits apparaissent alors comme des moteurs (sans mauvais jeu de mots) de la technomagie, mais également comme des symboles du conflit Homme-Nature à l’œuvre dans le roman. Ce conflit finit d’ailleurs par devenir explicite et violent, lors de l’affrontement final entre les Ondins et les Nardenyllais, qui fonde le socle d’un nouveau départ pour les descendants des Tuatha Dé Dana et les Fomoires.

 

Le mot de la fin

 

La Fin des étiages prend la suite de Rivages, avec lequel il forme un diptyque. Dans ce deuxième roman, Gauthier Guillemin développe l’univers qu’il avait précédemment mis en scène pour traiter du conflit Homme-Nature et mettre en scène une forme de technomagie.

Ainsi, l’auteur montre la manière dont les Ondins et les Fomoires, utilisateurs des seuils, des artefacts permettant le déplacement instantané, s’opposent aux Nardenyllais, qui cherchent à étendre leur territoire en prenant le contrôle du Dômaine grâce à des machines fonctionnant par la vapeur et l’exploitation d’esprits élémentaires. Ce conflit entre les défenseurs du Dômaine et ceux qui cherchent à le dominer permet à Gauthier Guillemin de décrire les changements sociaux qui bouleversent son univers.

Ces changements s’observent notamment dans la transformation des sociétés des Ondins et des Fomoires, induite par Sylve, Quentil, Sente, et leurs compagnons de voyage.

J’ai beaucoup aimé La Fin des étiages, pour la manière dont il contraste avec Rivages, et l’univers et les thématiques qu’il développe !

L’auteur a accepté de répondre à mes questions à deux reprises, ici et ici.

Vous pouvez également consulter les chroniques de FeydRautha, Célindanaé, Acaniel, Yuyine, Just A Word, Xapur, Aelinel

16 commentaires sur “La Fin des étiages, de Gauthier Guillemin

  1. Merci pour cette lecture qui met le texte en perspective. Encore aujourd’hui une lectrice me demandait si tel détail ou telle péripétie, était habituel en fantasy ou en SF ; et voilà que tu nous éclaires ! Dans le même temps ma PAL prend quelques centimètres 🙂

    Aimé par 1 personne

    1. De rien, vraiment ! 🙂
      J’ai adoré le roman et je tenais à lui rendre justice.
      Ensuite, c’est toujours un peu mon objectif, de remettre les choses en perspective, surtout quand mes lectures rentrent en écho avec mes recherches !
      C’est cool pour ta PAL, j’espère qu’elle saura t’inspirer 🙂 .
      Merci beaucoup pour ton commentaire en tout cas, ça fait super plaisir !

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